Billet du 22 octobre 2015 Par Ottmar Edenhofer, Jan Christoph Steckel, Michael Jakob
Novel ideas how to spend climate finance in a way that reduces emissions and at the same time promotes recipients’ immediate development objectives are required. In this short commentary, we propose to regard climate finance in the broader context of sustainable development.
Billet du 20 octobre 2015 Par Alix de Saint Vaulry
L’économie thaïlandaise a de nombreux atouts, comme le montrent les Profils Pays du CEPII : sa stratégie de développement repose sur une bonne insertion dans les chaînes de valeur mondiales, et sur le pari d’une forte ouverture à l’international.
Le Partenariat Transpacifique peut bouleverser durablement le paysage des politiques commerciales. Son impact devrait toutefois rester limité et ne devrait pas conduire les européens à précipiter la négociation transatlantique.
Il est peu probable que les négociations actuelles sur le climat débouchent sur un accord permettant d’aboutir à un prix unique du carbone au niveau mondial. Néanmoins, la reconnaissance d’un prix de référence serait nécessaire et permettrait de fournir un guide pour les décisions d’investissement et de financement.
Certaines discussions sur la transition écologique et énergétique et la COP21 traitent de la monétarisation du carbone. Un prix unique mondial semble pour certains efficace voire suffisant pour faire basculer nos sociétés vers la soutenabilité. Cette apparente simplicité paraît devoir être nuancée.
Most people hate finance, viewing it as the epitome of irresponsibility and greed. But, even after causing a once-in-a-century recession and unemployment for millions, finance looks indispensable for preventing an even worse catastrophe: climate change.
Un des objectifs du TPP est la réduction ou la suppression des droits de douane entre ses membres. Cependant, de nombreux accords commerciaux existent déjà entre les pays concernés, avec beaucoup de droits déjà nuls. Malgré tout, supprimer ceux qui restent, dans ces secteurs potentiellement sensibles, est ambitieux.
Des raisons théoriques et pratiques font de l’objectif d’un prix mondial unique du carbone une mauvaise idée, tant sur le plan du bien-être que sur le plan géopolitique.
La politique climatique d'un pays consommateur d’énergies fossiles ne peut pas être guidée par un « coût du CO2 ». Les États doivent agir en utilisant un autre levier, indépendant des cours mondiaux.