Les pays de la zone Euro ont beaucoup insisté pour que le FMI apporte des financements dérogatoires à la Grèce, on le leur rappellera à l’heure des comptes.
Du 21 au 23 mai, la BCE a organisé l'édition 2015 du forum annuel sur les banques centrales. Le discours inaugural de Mario Draghi, ainsi que les discussions du 23 mai, ont porté essentiellement sur la nécessité de réformes structurelles pour renforcer la croissance en Europe.
Favoriser la recherche et la mise en œuvre d’innovations à un coût abordable est essentiel pour atteindre les objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Le rapport de l’Observatoire du Long Terme, intitulé « Transition par l’innovation », propose une série de recommandations en ce sens.
Au-delà de la polémique liée à la négociation du TTIP, le système de règlement des différends entre investisseurs et Etats doit être repensé, pour s’orienter vers une institution publique exclusivement focalisée sur la non-discrimination.
Souvent décriés dans le débat politique français, les accords de Schengen, qui facilitent la mobilité de la main-d’œuvre en Europe, renforcent l’intégration européenne. De ce fait, leur impact économique n’est pas négligeable.
Au cours des deux dernières décennies, les États-Unis, mais également plusieurs pays européens, ont connu une forte hausse simultanée des inégalités et du crédit. Les inégalités ont elles joué un rôle dans la dynamique de l’endettement des ménages et sont-elles un facteur de crises financières ?
L’inéluctable restructuration de la dette grecque conduira soit à un transfert de charges vers les États membres de la zone Euro, soit à un abandon au moins partiel par le FMI et/ou la BCE de leur statut de créanciers privilégiés.
Billet du 23 décembre 2014 Par Urszula Szczerbowicz
Les politiques monétaires non-conventionnelles mises en place par la BCE, centrées sur l’apport des liquidités supplémentaires aux banques, ont-elles permis de relancer le crédit en zone euro ?
Billet du 22 décembre 2014 Par Farid Toubal, Ronald B. Davies, Julien Martin, Mathieu Parenti
Une étude récente révèle que l’utilisation des prix de transfert à des fins d’optimisation fiscale concerne les exportations d’une poignée de très grandes entreprises vers un nombre réduit de paradis fiscaux. Les pertes en termes de recettes fiscales potentielles sont néanmoins substantielles.